Je suppose, comme pour les artistes du pop art, particulièrement Rancillac, quand on cherche à faire la même décomposition.
Devant sa photo on analyse les valeurs. Sur calque, on en fait les contours, on code chaque zone, un code par valeur. Il semble que ce type de coloriage soit à la mode en ce moment.
Et avec de l'habitude, on arrive au beau travail que fait Thierry qui s'exprime plus haut.
Aujourd'hu, pour en avoir une approche, un passage par photoshop (ou la vectorisation d'illustrator) aide – et complique à l'extrême dans certains cas – la décomposition de son image. Quand je dis complique, c'est que le réglage est automatique et que si la photo est très détaillée, les zones seront très petites et se compteront par milliers ; il faudra alors commencer par appliquer un flou sur l'image. On le voit sur le tutorial joint, l'arrière-plan, flou, se réduit à quelques grandes zones.
Quand à la formule, elle est simple, présentée à l'ancienne. Dans les menus déroulants : passer en niveau de gris par image > mode > niveau de gris, puis image > réglages > isohélie. Cocher la case aperçu et régler le nombre de niveaux.
rechercher dans votre navigateur "isohélie" et rechercher les tutoriels vidéo, par exemple celui-ci qui utilise en plus les calques de réglages pour rendre plus souple et réversible le travail.
http://tv.adobe.com/fr/watch/formations-vidéo-pour-photographes/adobe-photoshop-cc-utiliser-isohelie-de-photoshop-cc/