Suite aux questions posées par Gabriel Sir Gong (dont on a plus de nouvelles) et aux remarques de Sylvie qui, pour moi, s'appliquent particulièrement à l'usage des papiers fins, j'ai essayé de synthétiser mes expériences dans ce schéma que j'ouvre à vos remarques.
Le schéma est plus pensé pour des papiers épais à durs, sans grains ou avec.
J'ajouterai que l'effet de l'encre qui bave est flagrante avec des encres à l'eau qualité école qui couvrent mal et pour lesquelles on a tendance à forcer l'encrage, mais on retrouve cela aussi avec de bonnes encres si l'on encre trop le rouleau. Il faut passer du bruit du pneu sur l'asphalte mouillée à celui du boyau de vélo de course avec une encre très pigmentée. Et dans ce cas, la régularité de la pression lors du tirage devient importante.
Travaillant essentiellement sur médium, j'utilise les encres à l'huile, Sakura tant que j'en trouverai – le brun vient de disparaître –, le médium interdisant un nettoyage à l'eau.
L'habillage est là pour transmettre la pression, la répartir, pour donner plus d'élasticité au papier et limiter les chocs du passage sous presse.
J'habille au minimum, essentiellement à la carte de Lyon, fermement élastique et qui ne prend pas ou très peu l'empreinte, ce qui est aussi le cas de certains plastiques, rhodoïd…
Pour le papier, j'aime utiliser le papier litho lisse de Hahnemühle
Le schéma est plus pensé pour des papiers épais à durs, sans grains ou avec.
J'ajouterai que l'effet de l'encre qui bave est flagrante avec des encres à l'eau qualité école qui couvrent mal et pour lesquelles on a tendance à forcer l'encrage, mais on retrouve cela aussi avec de bonnes encres si l'on encre trop le rouleau. Il faut passer du bruit du pneu sur l'asphalte mouillée à celui du boyau de vélo de course avec une encre très pigmentée. Et dans ce cas, la régularité de la pression lors du tirage devient importante.
Travaillant essentiellement sur médium, j'utilise les encres à l'huile, Sakura tant que j'en trouverai – le brun vient de disparaître –, le médium interdisant un nettoyage à l'eau.
L'habillage est là pour transmettre la pression, la répartir, pour donner plus d'élasticité au papier et limiter les chocs du passage sous presse.
J'habille au minimum, essentiellement à la carte de Lyon, fermement élastique et qui ne prend pas ou très peu l'empreinte, ce qui est aussi le cas de certains plastiques, rhodoïd…
Pour le papier, j'aime utiliser le papier litho lisse de Hahnemühle