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EAU-FORTE EN COULEUR AU PAPIER SABLÉ.

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1EAU-FORTE EN COULEUR AU PAPIER SABLÉ. Empty EAU-FORTE EN COULEUR AU PAPIER SABLÉ. Sam 19 Déc 2009 - 15:32

Francisco Dominguez

Francisco Dominguez

Je m´excuse tout d´abord, et je souhaite savoir m´expliquer comme il faut. Cella fait des annees que j´ait laisse Valence, exactement 45 ans.
EAU-FORTE EN COULEUR AU PAPIER SABLÉ. CUATRICROMIA Technique Brevetée comme droits d'auteur. On doit préparer quatre plaques identiques si un est proposé de travailler aussi ce qui est noir primaire, c'est-à-dire, obtenir que toutes fournissent un registre parfait. La manière d'obtenir un bon résultat est d'unir ces dernières dans un seul bloc. Ceci est obtenu fortement en utilisant quatre ridoirs, adaptés au métal. Il suffit que ces ridoirs laissent libre un des quatre extrémités. Ce bord est celui que nous glissons sur la pierre de polir, dans le but de réduire les quatre faces jusqu'à l'obtention d'un ajustement parfait dans toutes. Quelques artistes le font en fixant les quatre plaques à une base ferme et postérieurement poncent les chansons avec une lime, en les tournant progressivement. Je préfère maintenir les matrices dans mes mains, en les manipulant directement sur la pierre émeris. Entre plaque et plaque je met un papier et place un bristol, dans le but de que les particules qui sont détachées ne doublent pas le métal. Obtenu le registre et polie la surface des quatre matrices, je prends la première et dans son soutien, dans l'angle supérieur droit, avec un poinçon ou marqueur d'alcool, j'écris le mot « Jaune ». Je fais ensuite autre tant avec ce qui est restantes : « Rouge, bleu et Noir ». Je situe la plaque qui correspond aux jaunes, sur deux cartons, lesquels doivent être, nécessairement, tellement gros, (chacun d'eux) comme le métal utilisé. Les deux cartons doivent parfaitement être adaptés, ce pourquoi il convient que ses surfaces soient jumelées. Il est y compris opportun prendre un carton et le plier par son centre. Avec un coupeur, en profitant des chansons de la plaque, comme si d'une règle il était traité, j'ouvre une fenêtre, dans les deux cartons. Est un travail simple mais qui doit être effectué avec des soins parce que de de cela dépend la qualité de notre travail. Je vérifie alors que les quatre plaques sur lesquelles nous devons être enregistrés adaptent parfaitement à la coupe effectuée dans le premier carton. Alors je situe à nouveau sur cette première fenêtre le papier de verre. (La face graneada doit surveiller vers le bas, dans le but de que les grains influencent la surface vernie de la plaque que nous devons introduire dans la fenêtre ouverte dans le carton). Ce qui est fixe soigneusement par les quatre flancs, avec large ruban d'emballer, dans le but de qui ne se déplace pas le plus minimal. Sur le papier sablé blanchi avec gesso très dilué nous allons dessiner ce qui convient. Nous devons rappeler qui la plaque enregistrée investit l'image en procédant à l'impression, si nous voulons que celle-ci maintienne la même orientation que le modèle que nous souhaitons reproduire, nous devrons se fixer dans une photocopie investie, de cette manière nous nous évitons devoir utiliser le miroir pour vérifier comment évolue notre travail. Un truc que j'utilise également est de demander dans le laboratoire photographique qu'ils investissent le développement, de cette manière j'évite les ennuis qui suppose de travailler avec l'illustration originale orientée vers le côté opposé. Nous avons dit que la taille des cartons et les fenêtres que nous avons ouvertes dans leur centre doivent s'adapter à la perfection, par conséquent, suffit de placer le second carton sur le premier et les adhérer avec soins, dans le but de qui forment une seule unité et le plus minimal ne se déplacent pas. Si nous effectuons cette tâche avec précision nous verrons qu'on peut obtenir un bloc parfait, uniforme. Pour travailler avec aisance je habitue à augmenter un ou deux millimètres par chaque côté la fenêtre dans laquelle nous nous devons soutenir, c'est-à-dire, celle que celle qui reste en vue, de cette manière il est plus confortable de travailler les bords du métal. À travers la fenetre du premier carton (le soutien), nous pouvons voir la face abrasive du papier sablé. Dans cette cavité nous devons placer la première plaque, celle des jaunes ; nous le ferons en la situant avec la face vernie en surveillant vers à l'intérieur, c'est-à-dire, soutenue contre la face graneada du papier de verre. Alors nous collons la plaque par leurs quatre côtés avec large ruban d'emballer, métal et carton seront unis de sorte qu'ils ne puissent pas se déplacer le lui plus minimal tandis que nous manipulons tout l'ensemble entre nos mains pendant le processus d'enregistrer. Le vernis qui couvre la plaque doit être très fin. Il convient qu'il est ainsi et qu'il maintienne une grande régularité dans la surface donc nous ne devons pas surtout oublier que ce qui est abrasif du papier sablé est microscopique, si nous utilisons le nombre 1000. Des déformations du vernis peuvent donner lieu à ce que la finesse du grain du papier sablé n'est pas capable de transférer les couches les plus lourdes et par la même chose ne puisse pas laisser sa trace dans ces emplacements concrets, ce qui supposerait un dégoût pour l'enregistreur, bien que par celui-ci méthode il ne s'avère pas excessivement difficile de résoudre cette classe de problème. Le milieu pour que n'apparaissent pas ces limitations, est de partir de l'idée que le vernis, par très fin qui est, supporte parfaitement la plus grande de de celles mordues, pourvu que la plaque soit polie et il n'ait pas souffert d'autres mordues précédentes. Dans une plaque déjà graneada ou doublée à l'eau-forte, et y compris tramée à l'aquatinte, il est nécessaire d'utiliser un vernis suffisamment gros comme pour couvrir les irrégularités du métal ; de ne pas le rendre ainsi le par acide ils corroderont les imperfections coupantes qui existent dans la plaque, lieux concrets où le vernis n'est pas assez épais pour supporter des mordue très intense. Nous avons déjà la première plaque, celle des jaunes, préparée pour commencer à enregistrer. Nous devons tenir compte que nous allons travailler sur une base composée d'une quantité infinie de petites particules qui ont la propriété de pénétrer le vernis et arriver jusqu'à la surface du métal. En étant ainsi, si nous plaçons notre main en haut, nous exerçons déjà une pression lui assez intense comme pour que le papier de verre laisse sa trace dans le lieu où nous nous avons soutenues. Il est parfaitement possible de travailler directement, sans être préoccupé en excès de ce problème mais si nous voulons obtenir des blancs très purs il est mieux de recourir une règle ou un ruban de bois sur lequel être soutenu, et, de cette manière, éviter le contact direct du palmier de la main sur ce qui est original que nous nous proposons de reproduire. Le ruban est soutenu sur la surface du second carton. À l'intérieur, dans la fenêtre découpée est marqueté le dessin, de sorte que nous évitions de toucher la surface sur laquelle nous travaillons. D'autre part, en étant dessiner dans une fenêtre ouverte dans le carton, il est beaucoup plus simple de travailler les bords de la gravure et par la même chose nous ne courrons pas le risque de doubler les chansons de la plaque tandis que nous la faisons tourner entre nos mains pendant le travail. Sol recourir à une photocopie en couleur du motif qui souhaite concrétiser sur la plaque. Si nous observons de quelle manière on confectionne ces photocopies, nous verrons que quelques machines effectuent quatre passées successifs. Dans la première on imprime les points jaunes, dans la seconde la cian, ensuite ce qui est rouge, et finalement ce qui est noir. Nous avons donc devant nos yeux toute cette richesse chromatique. Si nous savons profiter de cette information et combiner les différents tons, nous verrons qu'il est possible il compose la même image d'une manière purement artisanale. Sur le soutien du papier sablé blanchi avec gesso on peut dessiner avec la même facilité que si nous le faisions sur un feuillet blanc placé dans la fenêtre de carton. Nous effectuerons initialement le dessin en jaune, donc on enlève la plaque, on introduit celle de de ce qui est rouges et nous continuons notre tâche pour l'obtention de ce ton concret à recourir à un stylo à bille rouge, par exemple. On vient finalement avec l'autre plaque, celle qui est bleu, et il est dessiné dans cette couleur. Que personne n'est trompé, il ne s'agit pas de reproduire un chrome, ni de granear à à ce qui est fou ici et là. Nous ne pouvons pas oublier que les couleurs primaires, bien manipulés et correctement juxtaposés, peuvent créer un amalgame de couleur difficile à égaler par d'autres moyens. Il s'agit en définitive d'une technique qui nous impose de travailler chaque ton de couleur avec planification étudiée, et qui pose en outre un inconvénient énorme pour qui ne connaît pas comment agissent les acides avec chaque type de métal. Dans mon cas j'enregistre en laiton, un matériel considérablement plus dur que le cuivre, et ce qui est mordiente utilisé est le Percloruro Ferrique. Il est nécessaire de connaître avec exactitude le type de de mordue que nous souhaitons obtenir, ces dernières dépendent toujours de la température ambiante, et, comment non, de la concentration des acides. Si tout ceci n'est aucun problème pour nous, nous verrons qu'il est possible d'obtenir une gamme complète de de verts, en dépendant toujours de l'intensité de de celles mordues, de la pression que nous trouvons exercée sur le papier sablé, et du mélange que nous effectuons des deux couleurs en superposant les deux plaques, celle correspondant à la couleur bleue et celle des jaunes. Nous pouvons logiquement, ternir ces mêmes tons verts, en les grillant avec un peu de couleur rouge, ou en les ternissant encore plus, si le nous ajoutons quelque chose de de rouge et noir. Le résultat en papier de chacune des quatre plaques, imprimées indépendant entre eux, est du plus frappant. Nous ils montrent qu'il ne s'agit pas de taches de couleur plate, mais, chaque matrice nous fournit un dessin différent, évidemment une seule couleur et un fidèle au sujet reproduit. Pour le dire d'une autre manière : Dans le cas de la couleur jaune, les tons sont divisés une variété tonale riquísima. On apprécie des claiux et foncés dans tout un amalgame de couleur. La superposition de de tous, jaune, magenta, cian et noir, juxtaposés, l'est ce qui compose le chromatisme d'une Eau-forte graneado frappant. Supposons que nous voulons obtenir la couleur violette. Comment obtenir ?. Nous devons savoir que ce ton est composé de cian (Bleu) et de de magenta (Rouge). Mais dans lequel proportion ?. La question nous indique quelle est la difficulté de cette technique. Chaque plaque, celle de de ce qui est rouge et celle de de ce qui est bleu, doivent d'avoir été enregistrée de manière comm'en étant superposé les points d'un et une autre, ces dernières nous procurent approximativement 50% de couleur pure de chaque pigment. En partant de ce concept nous commençons donc à enregistrer la plaque correspondant à la couleur jaune. Si nous avons les idées claires quel doit être notre tâche, tout ce que nous devons faire est de décomposer le dessin sur lequel nous travaillons différentes couleurs. Dans les zones où il existe des taches de lumière, c'est-à-dire, blancs purs, nous ne devons pas granear le plus minimal, et si les détails que nous observons sont composés de jaunes très clairs, notre tâche consistera à granear cette zone avec une délicatesse suprême. Il ne s'agit pas d'estomper sur le dessin avec l'objet émoussé, ou avec le stylo à bille d'un côté à à un autre cette couleur, sans égard, au contraire, il faut agir avec précaution, en produisant un frottement calculé, la même manière que nous le ferions si nous nous trouvions en travaillant avec crayon sur un feuillet blanc. Nous devons voir comme évolue la mine, lentement, en la glissant avec précision et délicatesse, dans le but de ne pas laisser de zones sans granear. Si la couleur jaune du dessin que nous reproduisons augmente peu à peu d'intensité, en ternissant, nous devons aussi augmenter peu à peu la pression, étant celle-ci plus forte tout au plus foncé nous résultez le ton que nous essayons d'imiter. S'agissant d'une illustration en couleur, les jaunes sans doute on fondra peu à peu avec d'autres couleurs. Nous devons penser, si le ton avec lequel nous travaillons est composé également de la couleur jaune, par exemple l'orange clair, qui ce se forme avec le jaune et un peu de rouge, par conséquent, où nous voyions cette couleur aussi faudra brunir, tout comme s'il existe un vert, qui est obtenu par le mélange de de ce qui est bleu et du jaune. Si ce qui est vert est très intense, nous l'obtiendrons en graneando avec force ce qui est bleu et très sensiblement le jaune. Je dirais, pour être sincère, que la proportion je l'obtiens d'une manière purement intuitive, donc, de de ce qu'autre manière on peut obtenir un ton concret, en en tenant compte du fait qu'il doit être obtenu en mélangeant la quantité d'encre que nous fournissent les orifices ouverts dans quatre plaques différentes. Ce qui est noir, comme exemple, n'est pas simplement obtenu avec la plaque qui correspond à cette couleur. Comme arrive avec Le plus offset, un grillage noir et un brillant comme celui que nous pouvons voir dans une composition photomécanique, il peut être obtenu parfaitement en superposant les quatre couleurs en même temps, et évidemment, en graneando les avec force, dans le but de que produisent des tons de grande intensité. Si ce qui est que nous voulons concrétiser est une feuille verte dans des ombres, nous devons mélanger le jaune, (en respectant les blancs, s'il les y a), ce qui est bleu, (en bruñendo quelque chose les blancs pour les agrisar légèrement), quelque chose de de rouge, (dans tout l'ensemble, pour le griller), et évidemment ce qui est noir, (dans petite quantité dans toute la feuille) Initialement, en cherchant la manière de simplifier la tâche qui suppose de travailler sur une photocopie en pensant de façon permanente le mélange des quatre couleurs complémentaires, j'ai recouru à un tour très simple. On vend dans des magasins de papeterie un type de stylo à bille qu'acquièrent généralement ce qui est petits avec vue à dessiner avec une gamme très variée de couleur. Ils sont généralement très lourds et contiennent de de 4 à 12 couleurs différentes. J'ai acheté plusieurs, de différents types, et recours au bouton jaune si c'est celui-là le ton que je dois brunir. Un tour simple, si le gesso ne permet pas de dessiner avec stylo à bille de couleur, consiste à antéposer un feuillet. Le rôle est lentement colorié, de sorte que me s'avère confortable voir comment évolue le travail. Je fais postérieurement la même chose avec ce qui est rouge, (je procure que c'est rouge clair) ensuite ce qui est bleu, et finalement ce qui est noir. Plus tard, par intuition, j'ai décidé de simplifier la méthode. Les encres du stylo à bille ont huile et abîment, parce qu'il l'humectent, le papier de verre, de sorte qu'il termine pour être creusé et se détériorer avec facilité. J'ai commencé par conséquent à utiliser les crayons, de recourir à différentes duretés, en dépendant toujours de l'effet qu'il voulait obtenir. Si désir granear avec douceur fait main à une mine douce, et si je dois le faire avec force je procure qu'il est plus consistant. De cette manière nous obtenons que la première agression ne détériore pas le rôle. Quand j'ai terminé de grogner la couleur jaune, indifférence la plaque, je l'analyse soigneusement, en essayant de n'oublier aucun détail, et, je la place en lieu sûr. Dans un coin, où nous ayons la conviction qu'on ne devra pas tomber ou d'être dégagée ou être doublée par un certain objet de nombreux qu'on manipule généralement dans un atelier de gravure. Dans ce moment nous pouvons protéger la plaque par leur soutien. J´ait l´habitude de le faire avec ruban d'emballer. Adhérer le ruban avant de commencer à granear ou après fini le travail vient il être la même chose. S'il est fait avec la plaque déjà enregistrée, nous devons de d'être très soigneux donc sur le vernis elles sont adhérées beaucoup des particules qui se sont détachées du papier de verre. Si nous glissons la plaque, descuidadamente, bien qu'il soit sur le périodique qu'on place généralement pour la protéger, il est possible qu'apparaissent des bandes imperceptibles à simple vue dans la matrice. Il convient de mordre les quatre matrices en même temps. Si le plateau que nous utilisons ne l'est pas assez grand pour les faire valoir ensemble, il sera fait dans le même mélange, avec une température identique, (si possible avec le plus petit intervalle de temps entre les quatre corrosions, puisque la température varie généralement dans quelques heures), et avec identique mordue la plaque de de ce qui est rouges, bleu et noir, celle des jaunes est la plus sensible, ce pourquoi je lui consacre un commentaire t'apar.
Il est toujours intéressant de travailler avec un acide dont la composition nous s'avère familiale. Il n'est pas prudent de mordre la plaque dans la cuvette utilisée un semaine avant. Il se produit dans beaucoup d'ateliers qu'il est laissé reposer ce qui est mordiente pendant des jours, sans être pris l'ennui de le verser dans un récipient fermé pour éviter qu'on évapore l'eau. Si nous attaquons les matrices dans celui-ci élément nous nous risquons que le métal souffre mordue excessive, parce qu'en s'évaporant l'eau l'acide sera beaucoup plus corrosive. Cependant, si malgré tout nos soins celle mordue était excessive, il suffirait de polir la plaque soigneusement, avec papier sablé fin, de réduire les pores et d'obtenir le ton que nous nous avions proposées. Cette poli devra insistamment être rendu, méticuleuse, progressive et, à à long ce qui est et à large ce qui est de toute la plaque. Le problème apparaîtra si nous n'avons pas obtenu l'obtenir initialement mordue assez intense, parce que nous nous verrions obligé de vernir de nouveau la plaque et de procéder dans leur totalité à à un nouveau graneado avec papier de verre. Celui-ci, évidemment, ne serait pas un problème grave, au contraire, la matrice gagnerait en richesse et les tons obtenus seraient plus intenses quant à chromatisme. Terminé notre travail, nous vérifions l'état des plaques (P/E - Essai d'État). Pour cela nous effectuons une première impression. Ce qui est normal est de brunir les chansons pour éviter que les bords des quatre matrices, habituellement coupantes, puissent endommager les couvertures. Comme cette tâche porte du temps, il est courant qui un s'oublie des préjudices que la précipitation puisse nous provoquer, au bénéfice de la curiosité innée de tout enregistreur. EN imprimant la première plaque, c'est-à-dire, celle correspondant à la gamme des jaunes, nous verrons immédiatement apparaître le dessin dans cette seule couleur. Si nous étudions avec des soins celui-là premier état, il nous sera possible de découvrir tout défaut. La seconde plaque, en étant superposé nous procurera une image plus voyante et imposante que la première. Le mélange de des jaunes et de ce qui est rouges nous offre une gamme que, en respectant les tons blancs, il passe par la variété étendue de jaunes et de l'orange, jusqu'à ce qui est rouge plus pur. La troisième fera qu'apparaissent ce qui est verts et ceux marron, violette et pourpre ainsi que ce qui est bleu, ce dernier dans une variation tonale étendue. Finalement, ce qui est noir primaire : bien graneado, il obtiendra que tous ces tons se, et, en étant juxtaposé entre eux nous il essayera une couleur brillante jet, impossible d'obtenir d'une autre manière. Dans ce moment il sera possible de brunir et de poncer la plaque de sorte que les différents tons soient réduits dans la proportion que nous souhaitons, tout comme si d'une manière noire il était traité. Le résultat final dépendra toujours de nos soins. Comme information je dirai qu'en travaillant avec des plaques de laiton, considérablement plus dures que le cuivre, sol mordre la matrice pendant une heure approximativement, dans une composition de Percloruro Ferrique qui est composée d'un litre d'acide par un autre d'eau. Utiliser le papier sablé numero 800, à l'eau. Nous devons considérer que les encres jaunes s'oxydent avec le simple frottement de la tarlatane contre le métal, en arrivant à acquérir un ton verdâtre très désagréable, il est donc nécessaire d'envoyer à chromer la plaque correspondant à cette couleur. Apparentement ni rouge, bleu et noir de l'ils ont besoin, bien que je doive reconnaître que je ne suis pas trop sûr de cela. En les chromant par toutes l'impression change notamment quant à propreté générale se réfère, et plus facile à obtenir les blancs. Nous devons tenir compte, si nous souhaitons corriger de petits détails, qui travaillons avec trois ou quatre plaques, graneadas toutes par une infinie succession de points. Nous pouvons recourir, si l'utilisation du papier sablé ne nous donne pas sécurité, granear ces petits détails qui manquent avec une simple aiguille, mais ils rappellent que le papier sablé correspondant au nombre 1200 procure toujours des points très fins, ce pourquoi nous nous verrons obligés d'aiguiser l'aiguille pour éviter qu'on observe des différences frappantes entre les points ouverts par l'aiguille et ceux du papier sablé. La manière la plus juste d'aiguiser une aiguille, est de clouer cette dernière dans un crayon de gomme. Pour cela tout ce que nous devons faire est de renforcer cette dernière avec un carrelle et de la glisser avec force dans son centre doux, jusqu'à obtenir qu'il ressorte un peu plus d'un centimètre. Nous prenons ensuite un papier sablé du nombre 1000, nous la fixons avec un excédent de bagages à la table, et, en saisissant le crayon entre Las Palmas des mains nous déplaçons celles-ci comme si nous les frottions entre eux. Le corps de bois tournera entre nos doigts. De cette manière, si nous plaçons l'aiguille légèrement inclinée mais presqu'en horizontale sur le papier sablé, on aiguisera la pointe de l'aiguille uniformément. Un autre détail à considérer est l'avantage qui nous procure la fenêtre que nous ouvrons dans le carton. Si à à chacune des quatre plaques il reste un certain détail enregistrer, (peut arriver que nous nous oubliions de granear une certaine zone concrète), tout ce que nous devons faire est à vernir la plaque, la laisser sécher convenablement, et placer à nouveau la matrice dans son emplacement. Il est d'importance suprême de vérifier, avant de fixer la plaque de laiton, que celle-ci garde orientation identique que ce qui est original. De ne pas tenir compte de lui nous nous pouvons porter un bon dégoût, spécialement si nous mordons la plaque de nouveau et nous ne nous avons pas rendues compte de l'erreur. Pour ce motif il est nécessaire, écrire le mot « En haut », ou « Vers le bas », ou simplement dessiner une flèche qui indique la direction de la matrice, sur le ruban d'emballer avec lesquel nous avons couvert le soutien de la plaque pour la protéger des acides. (Celui-là est la cause dont il écrit toujours le mot jaune, rouge ou bleu dans le soutien du cuivre, dans l'angle supérieur droit). Toutes les précautions que nous prenons seront peu pour faciliter notre tâche. Une de mes premières erreurs en pratiquant celle-ci technique, a été de ne pas fixer la plaque dans la fenêtre ouverte dans le carton. (Je utilisait un autre système plus simple de sujétion). Après un travail méticuleux avec une de ces gravures, me portez la pire des surprises ; en extrayant la plaque j'ai découvert que celle-ci s'était déplacée dans la fenêtre ouverte pour la faire valoir. L'effacer par tout et commencer de nouveau a été la seule solution possible, et croyez moi, mon dégoût a été tellement grand que je me suis promis à moi même de ne pas tomber à nouveau dans cette erreur. En parlant de la nécessité de travailler avec une photocopie en couleur comme référence pour l'obtention du registre que nous souhaitons reproduire, mon intention n'est pas une autre fournir la tâche de qui est entamée dans cette technique de gravure. Les difficultés viendront par lui-même. EN dessinant sur une feuille en blanc avec stylo à bille jaune nous voyons l'évolution de notre travail avec une clarté absolue, et, pendant ce temps, le papier sablé que nous avons au-dessous se charge de transférer notre tâche au vernis sous forme de petits trous uniformes. Existe quelque chose plus spontané qu'un dessin. C´est etonnant voir avec quelle fidélité on peut exécuter une oeuvre par cette méthode. En partant parce que de cette idée il est simple d'évoluer vers la couleur, pour cela il suffit de changer de plaque chaque fois que nous travaillions avec un stylo à bille différent. Le résultat final, une fois obtenu le premier Essai d'État, il sera tellement semblable à à ce qui est original que nous l'âme se réjouira. Plus de un dira que ce type de gravure n'est pas autre chose qui une méthode de reproduction. Ils fassent l'essai et verront qu'il n'est pas tellement simple comme il paraît, de fait sont tant les connaissances que nous il exige qu'il ne sera pas facile que lui il effectue par quelqu'un qui ne domine pas la technique du dessin à la perfection, qui ne connaît pas le pouvoir corrosif ou du contrôle acide du temps que nous exigent ce qui est différentes mordues, et, très spécialement la connaissance de la couleur, donc, ne l'oublions pas, nous travaillons uniquement et exclusivement avec trois seuls pigments : jaune, magenta et cian. Ce qui est noir est une simple addition donc les trois primaires, en agissant par saturation, nous ils procurent ce ton sans problème.
LIMITATIONS DE LA TECHNIQUE VOUS APPELEZ DE L'EAU-FORTE GRANEADO COULEUR. Quand nous nous initierons dans les techniques appelées « manière noire par la méthode le papier de verre », « l'eau-forte graneado au papier sablé » ou « l'eau-forte graneado couleur », nous verrons que dans la majorité des cas le papier sablé laisse un registre presque imperceptible sur la plaque. Nous aurons l'impression que nombreuses heures que nous trouvons pues la consacrer à notre oeuvre auront été, apparentement, stériles. Ils ne se trompent pas, il est impossible de le savoir jusqu'à ce que le Percloruro Ferrique exerce son pouvoir corrosif sur la surface du métal. Alors, avec à peine une place d'heure d'immersion dans l'acide, en extrayant la matrice pour leur vérification, nous verrons apparaître l'image qu'avec tant des soins nous avons enregistrée. Les incisions microscopiques qui effectuent les particules abrasives qui composent le papier de verre sont en vérité tellement sensibles, spécialement dans les zones où la pression du stylo à bille a été légère, que colline voir à simple vue, et même avec loupe, s'il y a eu un certain type de registre. Nous devons tenir compte que la pression la plus sensible, et y compris un simple frottement avec les ongles, par léger que nous paraît, sera suffisante pour que les particules du papier de verre soient clouées dans le vernis. De de cela dépend, logiquement, la grosseur du vernis protecteur. Ne l'oublions pas, ce il doit être très fin, il doit uniformément être distribué sur toute la surface du métal. Je répète qu'est toujours la pression, (simplement intuitive) celle qui crée les différents tons qui peuvent être obtenus par celui-ci méthode. Toute la plaque sera attaquée par le métal pendant l'heure d'immersion en acide, de sorte que la taille des orifices ouverts dans le métal dépende seulement de la pression que nous avons exercée pendant le registre et aussi du temps que nous maintenons la plaque submergée en acide. Rappelons que si nous avons serré avec force, les particules auront été énergiquement clouées tellement qu'arrivent à influencer le cuivre ou le laiton la même manière qui si nous travaillions une pointe sèche. Dans ce lieu, l'acide, en trouvant un orifice plus ouvert et le métal clairement menacé, corrodera avec une plus grande virulence et nous il procurera un pore large et profond, capable, logiquement, de rassembler une plus grande quantité d'encre. Si la pression, au contraire, a été sensible en extrémité, le Percloruro trouvera un pore tellement tout petit que, en attaquant le métal il pourra seulement le dissoudre très légèrement, ce qui est suffisant, cependant, pour nous procurer le plus subtil des orifices. EN parlant d'une pression simplement intuitive, je me réfère à auquel il n'est pas possible de se faire une idée précise de de lui passe sous nos mains. Rappelons que nous antéposons trois matériels : le feuillet (si nous l'utilisons), le papier sablé, et la couche protecteur de vernis ; cela nous oblige à ce que la force que nous exerçons doit être toujours proportionnelle au ton que nous voulons obtenir, et qui si le papier sablé est très lourde et aussi le rôle sur lequel nous dessinons, il ne nous sera pas facile d'obtenir un bon registre. Il est par conséquent opportun que tant le feuillet comme le papier sablé soient le les plus mince possible. Personnellement sol enregistrer directement sur le papier sablé préalablement blanchi. Nous travaillons entretemps la première plaque, celles des jaunes, nous devons tenir compte que le papier sablé est rigide par le manque d'utilisation. Sol changer de papier sablé avec chaque gravure, de sorte que le pli de rôle abrasif seulement me soit utile pour les trois ou quatre plaques. Travailler avec papier sablé pour la première fois suppose que la première des plaques reçoit un traitement différent à à toutes les autres. Je m'explique : . En travaillant avec la plaque des jaunes : Les particules abrasives du papier sablé, (cristal et carborundun) sont fortement adhérées au rôle par un certain type de fixateur très puissant ; pour cela il est de reçu de penser que les grains, après une première manipulation se retournent plus libres en étant détaché un des autres, de sorte que s'avère plus facile d'enregistrer la deuxième, la troisième et aussi la quatrième plaque. Si nous soumettons la première plaque à l'action corrosive de l'acide pendant le même temps que toutes les autres, c'est-à-dire, une heure, nous verrons que cette première matrice a reçu une mordue plus légère. La différence est souvent tellement remarquable qu'elle nous obligera à la traiter d'une manière très spéciale, c'est-à-dire, la soumettre à une mordue plus intense et plus soigneuse, jusqu'au point dont il arrive à être opportun de plier les temps. Cependant, si nous n'avons pas obtenu le résultat que nous nous proposions, il est possible à vernir la plaque et de procéder à nouveau à à un nouveau graneado, en enrichissant la gravure. Rappelons : Un papier sablé utilisé fournit mordues plus agressives. En en tenant compte du fait que le papier sablé blanchi qui nous sert de base se détériore progressivement, spécialement en raison de la force avec laquelle on découvre les zones les plus foncées, il est possible que nous ne puissions pas recourir à à elle pour effectuer avec la sécurité nécessaire un nouveau graneado. Malgré cet inconvénient il existe une méthode très simple pour corriger la plaque des jaunes, et il n'est pas un autre recourir à l'aquatinte. Puisque le registre est déjà fait à l'eau-forte, nous n'avons pas plus que déposer une résine sur cette plaque et travailler cette dernière comme mieux nous convienne, c'est-à-dire, à l'« aquatinte brunie » à l'« aquatinte de réserves », ou « à l'acide direct avec brosse ». Nous devons indépendamment mordre la plaque, d'abord le résultat obtenu gagnera considérablement en qualité. Les autres plaques n'accepteront pas tellet gentiment cette méthode, parce que nous n'oubliions pas que les aquatintes superposent les couleurs entre eux, tandis que « l'eau-forte graneado » les juxtapose et les sépare convenablement, comme si nous observions un tableau impressionniste. (Des Points jaunes juxtaposés avec des points bleus, feront que nos yeux perçoivent la couleur verte). Pensons la gamme diferents de d'abrasifs qui peuvent être trouvé de nos jours sur le marché. Nous les avons pour des bois, métaux, carrosseries, matières plastiques, pâtes, vernis, de restauration, numérotées depuis le 200 jusqu'au 1200. Bien il est vrai que pas tous servent pour une eau-forte graneado mais nous ils peuvent fournir des résultats excellents pour confectionner des gravures vanguardistes. La trame est différente dans chaque cas, jusqu'au point dont il s'avère nécessaire d'étudier très soigneusement celle qui peut être nous utile. Pensons que tout au plus le volume est le grain utilisé plus grand sera aussi le pore ouvert dans le métal. Ceci nous obligera également à soumettre la matrice à une agression beaucoup plus puissante de l'acide utilisé dans chaque cas, parce que de ne pas le faire ainsi par le timbre rendra une image en excès sensible. Ils rappellent que ce qui est granulé que fournit un papier sablé extrêmement fin, de du 1200, ne supportera pas plus de 25 ou 30 minutes de corrosion. Quelques marques, bien que coïncidant modèle et numérotation, produisent fréquemment une texture excessivement fine, ce qui nous empêche de pouvoir soumettre la plaque à celle mordue avoir envie de parce que au granear sur cette base, pratiquement plate par la finesse du grain, ce que nous faisons il est d'écraser le vernis qui aura tendance à détacher de la surface polie du métal. Pour qu'il n'y ait pas de doute de de si la texture est celle indiquée, il convient de s'habituer à garder les papiers sablés utilisés précédemment dans d'autres gravures et de comparer la rugosité d'un et d'une autre. Malgré tout, si de de ce qu'il s'agit il faut obtenir un résultat convaincant et ce qui nous encourage à pratiquer cette technique avec des garanties de succès, je conseille d'utiliser initialement, comme pratique, un papier de verre numéroté avec les 1000 au maximum et 800 au moins. La grosseur mentionnée nous procurera un résultat excellent, peuvent être obtenus les effets d'une aquarelle, celui des crayons de couleurs, et y compris tellement frappants comme l'huile, en dépendant dans tous les cas du temps de corrosion qu'ont été soumises les quatre plaques. _le le papier de verre nombre 1000 nous offrir en laiton quelques creux qui peuvent supporter longues heures d´immersion en acide. Pour qu'il laisse un registre acceptable suffira un minimum de 45 minutes, tout cela dans un acide composé d'un litre de Percloruro Ferrique par deux d'eau. granea avec papier sablé, on procède à à celle mordue correspondante, donc il est verni de nouveau, et s'ajoute plus tard aux plaques le dessin linéaire qui convient. Si on souhaite travailler certaines des plaques à l'eau-forte de lignes, il convient de le faire en en tenant compte du fait que la technique du pointillisme requiert mordue considérablement plus intense que les grandes lignes effectuées sur le vernis sur base d'aiguille. Nous devons d'abord corroder la plaque indépendamment, se granea avec papier sablé, on procède à à celle mordue correspondante, donc il est verni de nouveau, et s'ajoute plus tard aux plaques le dessin linéaire qui convient. Il convient de le faire de cette manière parce qu'on obtient ainsi que les grandes lignes que nous avons effectuées sur base de doubler du vernis avec aiguille maintiennent toute sa force et pureté. Si on double d'abord la plaque et ensuite se cette dernière granea avec papier sablé ou avec aguatinta, les pores abondant déformeront les grandes lignes et y compris lui feront disparaître. Peut se faire ce qui est inverse si ce qui intéresse est précisément d'estomper la force des grandes lignes qui nous ont servies de registre. De fait, ce qui est habituel est qu'on recommande de commencer initialement avec les tons les plus obscurs, à dégrader les grandes lignes sur base de mordues superposées, qui seront effectuées de de l'un plus grand à une plus petite corrosion. Si nous sommes observateurs nous nous aurons rendu compte que le type de registre utilisé pour confectionner une eau-forte graneado est suprêmement utile pour le développement parfait d'une aguatinta en couleur. Nous savons la difficulté qui entraîne faire coïncider les détails minimaux quand on travaillera différentes plaques. Il nage tellement facile comme le papier sablé pour mener à bien le registre qui nous avoir envie de dans plusieurs plaques à la fois. Nous entamons le croquis préalable dans les différentes plaques, en partant des fenêtres ouvertes dans le carton. Le dessin dans chacune des matrices peut être effectué avec tant détaille comme nous voulions. Nous obtenons l'eau-forte avec mordue plutôt sensible. Il n'a pas sens, si nous allons travailler à l'aguatinta, que la corrosion est trop brute. Postérieurement, après une bonne propreté générale, en essayant de dégraisser les métaux comme il convient, nous couvrons les plaques avec résine et commençons séparément à travailler chacun des cuivres, en profitant du dessin que comme puntilleado nous avions obtenu. La méthode, bien profitée, nous fournit la superposition des couleurs, et présente l'avantage que les points ouverts par les particules du papier sablé sont unifiés et camouflent sans problème entre la texture des aguatintas. EN lisant ce qui est exposé il est probable qui doutent avant d'être mis à confectionner une gravure à l'eau-forte en couleur. Je suppose qu'apparaîtront beaucoup de doutes et qu'il les coûtera assimiler tant d'information d'une seule fois. Personnellement je le continue à voir tellement simple comme la première fois que je me suis initié dans cette méthode. Oublient tout ce qui ont lu, prennent un papier sablé à l'eau nombre 800, blanchissent son soutien et dessinent sur lui la même manière qui s'ils faisaient un simple dessin avec trois types de crayons de couleurs. Ils recourent d'abord au jaune, ils changent la plaque et procèdent avec ce qui est rouge. Plus tard ils répètent le processus avec le crayon bleu. Ils verront apparaître le dessin dans les trois plaques laiton ou cuivre et l'image qu'ils considèrent aura été transférée aux trois plaques. Si elles ils impriment une à un et juxtaposent ces trois couleurs, en serrant suffisamment, clairement, par le résultat peut être gratifiant. Au moment d'imprimer, quand ils donneront la couleur aux plaques, ils tiennent compte de l'encre qui correspond à chacune. Une salutation.
Francisco Domínguez.
Dans la liaison suivante vous pouvez voir quelques exemples de cette methode :. Chercher gravures, grabados en espagnol. « Dans le port », « Récipients de cuivre », etc.
http://info1artecom.artelista.com/

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2EAU-FORTE EN COULEUR AU PAPIER SABLÉ. Empty EAU-FORTE EN COULEUR AU PAPIER SABLÉ. Sam 19 Déc 2009 - 18:29

Admin / jean-claude

Admin / jean-claude
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Bonjour Francisco
Bienvenue sur le forum et merci pour vos deux interventions.
Toutefois permettez moi de vous mettre en garde contre des messages trop longs qui n'atteindront peut être pas leur but si les lecteurs du forum ne les lisent pas completement.
Il serait préférable de faire un RESUME (summary) de votre procédure et de nous donner un lien URL vers le texte complet pour ceux qui veulent en approfondir la compréhension ou peut être la pratique.
J'ai voulu éviter que les interventions deviennent des "manuels pratiques" et vos textes tres longs me semblent dans cet esprit.
Merci à vous d'adopter le principe des textes relativement courts, facilement lus par tout le petit monde de ce forum
Cordialement
L'administrateur et modérateur

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