Bonjour
Après plusieurs années d'usage intermittent de film photopolymère je ne suis jamais arrivé à éliminer les accident de surface qui arrivent trop fréquemment.
D'usage intermittent car je finis par m'en dégouter et puis j'oublie et j'espère et je recommence...
1- Je parle des photopolymère ImageOn (Dupont de Nemours), ou ImageOn pro, ou encore DK3 Hollandais. je remarque que l'imageOn s'est montré statistiquement le meilleur et j'ai heureusement réussi des plaques sans accident) mais c'est une loterie où je perds trop souvent.
2- Je parle de l'Intaglio type (l'appellation de Keith Howard) c'est à dire une gravure en creux sans morsure du cuivre, les tailles étant creusées dans le photopolymère par une solution aqueuse de carbonate de Na à 1% .
Je prends toutes les précautions d'usage pour la préparation de la plaque: nettoyage dégraissage, désoxydation (probablement inutile), et même ponçage léger préalable à ces opérations avec une ponceuse orbitale et du papier abrasif 800.
Précautions encore pour éviter les poussières, pour éviter les bulle d'eau ou d'air entre la plaque et le film déprotégé de la couche mate de protection.
Le laminage ou la lamination, le vilain mot,on devrait dire marouflage du film sur la plaque à été fait sous la presse après une pulvéristion d'eau déminéralisée additionnée d'un tière d'alcool à la surface du film etc/. etc.
Ou encore marouflage à l'eau et à la raclette suivi d'un séchage à chaud.
Bref après tous ces soins la plaque prête à l'insolation est recouverte d'une couche de film brillante et sans aucun défaut visible. Je l'expose aux U.V. sous un positif.... plein d'optimisme
Las! à la fin de la "morsure" dans le carbonate apparaissent souvent ici et là des petit trous dans le film, des gonflements qui s'arrachent à l'encrage bref des pétouilles qui lorsqu'ils sont mal placés dans l'image ne peuvent être corrigés facilement dans cette matière où le brunissoir ne répare pas.
Alors on recommence tout: nettoyage du cuivre comme plus haut et marouflage, voila que c'est bon, oui...jusqu'à la prochaine plaque ou c'est reparti pour les défauts.
Curieusement on ne parle jamais de ces déboires ni dans les deux bouquins de Keith Howard, ni dans "la gravure non toxique de Boegh, ninulle part!
Suis-je la seule victime qui ose déplorer?
Rémi, toi qui grave avec des photopolymères as tu connu ce genre de problème ou bien utilises tu seulement les plaques polymère?
Help help !
Après plusieurs années d'usage intermittent de film photopolymère je ne suis jamais arrivé à éliminer les accident de surface qui arrivent trop fréquemment.
D'usage intermittent car je finis par m'en dégouter et puis j'oublie et j'espère et je recommence...
1- Je parle des photopolymère ImageOn (Dupont de Nemours), ou ImageOn pro, ou encore DK3 Hollandais. je remarque que l'imageOn s'est montré statistiquement le meilleur et j'ai heureusement réussi des plaques sans accident) mais c'est une loterie où je perds trop souvent.
2- Je parle de l'Intaglio type (l'appellation de Keith Howard) c'est à dire une gravure en creux sans morsure du cuivre, les tailles étant creusées dans le photopolymère par une solution aqueuse de carbonate de Na à 1% .
Je prends toutes les précautions d'usage pour la préparation de la plaque: nettoyage dégraissage, désoxydation (probablement inutile), et même ponçage léger préalable à ces opérations avec une ponceuse orbitale et du papier abrasif 800.
Précautions encore pour éviter les poussières, pour éviter les bulle d'eau ou d'air entre la plaque et le film déprotégé de la couche mate de protection.
Le laminage ou la lamination, le vilain mot,on devrait dire marouflage du film sur la plaque à été fait sous la presse après une pulvéristion d'eau déminéralisée additionnée d'un tière d'alcool à la surface du film etc/. etc.
Ou encore marouflage à l'eau et à la raclette suivi d'un séchage à chaud.
Bref après tous ces soins la plaque prête à l'insolation est recouverte d'une couche de film brillante et sans aucun défaut visible. Je l'expose aux U.V. sous un positif.... plein d'optimisme
Las! à la fin de la "morsure" dans le carbonate apparaissent souvent ici et là des petit trous dans le film, des gonflements qui s'arrachent à l'encrage bref des pétouilles qui lorsqu'ils sont mal placés dans l'image ne peuvent être corrigés facilement dans cette matière où le brunissoir ne répare pas.
Alors on recommence tout: nettoyage du cuivre comme plus haut et marouflage, voila que c'est bon, oui...jusqu'à la prochaine plaque ou c'est reparti pour les défauts.
Curieusement on ne parle jamais de ces déboires ni dans les deux bouquins de Keith Howard, ni dans "la gravure non toxique de Boegh, ninulle part!
Suis-je la seule victime qui ose déplorer?
Rémi, toi qui grave avec des photopolymères as tu connu ce genre de problème ou bien utilises tu seulement les plaques polymère?
Help help !