Gravures photographiques avec des transparences.
Jean Baptiste Camille Corot popularisait la technique du clichet-verre vers 1850. Celle-ci peut être menée à bien avec les meme matériaux utilisés en gravure, il suffit de couvrir un cristal avec un capable de vernis de gravure et ont dessine en haut avec tant de détaille comme nous voulions. Terminé le travail nous nous verrons obligés de solliciter de de quelqu'un qui dispose de laboratoire fotogáfico que nous il révèle ce négatif tellement particulier que nous le présentons.
J'ai personnellement commencé à travailler sur une transparence comme celles que l´ont utilisé pour des photocopies, ellos sont comme le verre et ont la propriété de d'être résistant à la chaleur. J'enregistre le original que je souhaite reproduire en travaillant linéairement ; en négatif ou en positif, les deux ressources sont possibles. Le dessin peut être tellement éclairé et tellement réaliste comme nous souhaitions, en pouvant faire avec des crayons lithográficos, des vernis très dilués, ou avec aiguille. Si nous effectuons le registre avec un poinçon très aiguisé, nous verrons que la surface de la transparence souffre des incisions de finesse extraordinaire ; on obtient les grandes lignes très légères et par opposition tellement lourdes que les rebabes soulignent la même manière que sur une plaque métallique travaillée à la pointe sèche. La seule chose ce que nous devons faire, tandis que nous enregistrons, il est prendre encre de Chine et l'étendre généreusement sur la matière plastique de temps à autre. Les grandes lignes effectuées avec aiguille seront remplies et seront apparues dans noir ; en frottant en sécheresse avec un chiffon fin ou avec un papier toilette nous annulerons l'encre de surplus. De cette manière nous verrons comment évolue le dessin. L'encre de Chine adhère facilement aux rebabas de sorte que les grandes lignes les plus profondes paraissent exagérément larges, pour annuler ces crêtes la seule chose ce que nous devons faire, si nous souhaitons obtenir les grandes lignes pures et très nettes, est de frotter la transparence avec une matière plastique, quelque chose semblable à une carte Vise, pour ne pas doubler la matrice.
Nous pouvons utiliser le crayon litho pour créer une certaine veladure qui atténue les grandes lignes, en créant une espèce d'aguatinta photographique.
En ce moment on peut traiter le négatif que nous avons artisanalement créé.
Inclus dans la liaison suivante une oeuvre effectuée par cette méthode, la tête d'un faon.
http://images.artelista.com/artelista/obras/fichas/5/0/2392949960186203.jpg
Jean Baptiste Camille Corot popularisait la technique du clichet-verre vers 1850. Celle-ci peut être menée à bien avec les meme matériaux utilisés en gravure, il suffit de couvrir un cristal avec un capable de vernis de gravure et ont dessine en haut avec tant de détaille comme nous voulions. Terminé le travail nous nous verrons obligés de solliciter de de quelqu'un qui dispose de laboratoire fotogáfico que nous il révèle ce négatif tellement particulier que nous le présentons.
J'ai personnellement commencé à travailler sur une transparence comme celles que l´ont utilisé pour des photocopies, ellos sont comme le verre et ont la propriété de d'être résistant à la chaleur. J'enregistre le original que je souhaite reproduire en travaillant linéairement ; en négatif ou en positif, les deux ressources sont possibles. Le dessin peut être tellement éclairé et tellement réaliste comme nous souhaitions, en pouvant faire avec des crayons lithográficos, des vernis très dilués, ou avec aiguille. Si nous effectuons le registre avec un poinçon très aiguisé, nous verrons que la surface de la transparence souffre des incisions de finesse extraordinaire ; on obtient les grandes lignes très légères et par opposition tellement lourdes que les rebabes soulignent la même manière que sur une plaque métallique travaillée à la pointe sèche. La seule chose ce que nous devons faire, tandis que nous enregistrons, il est prendre encre de Chine et l'étendre généreusement sur la matière plastique de temps à autre. Les grandes lignes effectuées avec aiguille seront remplies et seront apparues dans noir ; en frottant en sécheresse avec un chiffon fin ou avec un papier toilette nous annulerons l'encre de surplus. De cette manière nous verrons comment évolue le dessin. L'encre de Chine adhère facilement aux rebabas de sorte que les grandes lignes les plus profondes paraissent exagérément larges, pour annuler ces crêtes la seule chose ce que nous devons faire, si nous souhaitons obtenir les grandes lignes pures et très nettes, est de frotter la transparence avec une matière plastique, quelque chose semblable à une carte Vise, pour ne pas doubler la matrice.
Nous pouvons utiliser le crayon litho pour créer une certaine veladure qui atténue les grandes lignes, en créant une espèce d'aguatinta photographique.
En ce moment on peut traiter le négatif que nous avons artisanalement créé.
Inclus dans la liaison suivante une oeuvre effectuée par cette méthode, la tête d'un faon.
http://images.artelista.com/artelista/obras/fichas/5/0/2392949960186203.jpg