Bien cher tous,
Sous ce pseudonyme de Betelgeuse (à défaut de mon vrai prénom qui n'a pas été accepté à l'enregistrement), je viens rejoindre ce forum dans l'espoir, je l'avoue, de trouver auprès de vous quelques éclaircissements. Je ne connais pas vraiment ce sujet, en dehors de gravures de Callot ou Dürer, appréciées au détour de recherches sur la peinture. Car en fait, je suis peintre. Et peut-être un jour, une fois les balbutiements passés, je trouverai un stage de gravure dans mon secteur très perdu, qui me mettra le pied à l'étrier.
Mais ce qui m'amène aujourd'hui, c'est... l'émail...
Je suis en train de travailler à un objet qui doit accompagner une exposition. Ce projet, grosso modo, un talisman de cuivre avec émail en champlevé, une technique que je n'ai jamais utilisée. Le champlevé, c'est ni plus ni moins que de l'émail déposé dans des "cloisons" de cuivre. Le plus simple moyen de réaliser ces cloisons, c'est... de creuser le cuivre par gravure.
Forte de ces informations, j'ai essayé de chercher des renseignements sur la gravure, acheté un vernis à graver, et du perchlorure de fer.
Mais au moment de passer à l'action, je me sens vraiment démunie : le perchlorure que j'ai acheté était sec. Je l'ai dilué à froid, dans les proportions indiquées par le vendeur. Mais en vous lisant, je réalise qu'on peut concentrer différemment l'acide et que cela a, apparemment, des répercutions sur l'aspect de la morsure.
N'ayant pas eu du tout de professeur, d'exemple, ni même de conseils, dans ce domaine, j'ai l'impression d'avoir deux mains gauches et pas de cerveau.
Alors ne m'en veuillez pas si c'est une question élémentaire pour vous :
Avez vous une idée de la concentration nécessaire du perchlorure et du temps qu'on doit laisser le cuivre dans le bain pour le creuser sur un millimètre de profondeur ?
Et alors, comment éviter que le bain ne ronge également la "tranche" du métal ?
Je suis désolée de vous importuner avec mes questions de béotienne... mais celui qui m'éclairera aura ma plus sincère reconnaissance !
Sous ce pseudonyme de Betelgeuse (à défaut de mon vrai prénom qui n'a pas été accepté à l'enregistrement), je viens rejoindre ce forum dans l'espoir, je l'avoue, de trouver auprès de vous quelques éclaircissements. Je ne connais pas vraiment ce sujet, en dehors de gravures de Callot ou Dürer, appréciées au détour de recherches sur la peinture. Car en fait, je suis peintre. Et peut-être un jour, une fois les balbutiements passés, je trouverai un stage de gravure dans mon secteur très perdu, qui me mettra le pied à l'étrier.
Mais ce qui m'amène aujourd'hui, c'est... l'émail...
Je suis en train de travailler à un objet qui doit accompagner une exposition. Ce projet, grosso modo, un talisman de cuivre avec émail en champlevé, une technique que je n'ai jamais utilisée. Le champlevé, c'est ni plus ni moins que de l'émail déposé dans des "cloisons" de cuivre. Le plus simple moyen de réaliser ces cloisons, c'est... de creuser le cuivre par gravure.
Forte de ces informations, j'ai essayé de chercher des renseignements sur la gravure, acheté un vernis à graver, et du perchlorure de fer.
Mais au moment de passer à l'action, je me sens vraiment démunie : le perchlorure que j'ai acheté était sec. Je l'ai dilué à froid, dans les proportions indiquées par le vendeur. Mais en vous lisant, je réalise qu'on peut concentrer différemment l'acide et que cela a, apparemment, des répercutions sur l'aspect de la morsure.
N'ayant pas eu du tout de professeur, d'exemple, ni même de conseils, dans ce domaine, j'ai l'impression d'avoir deux mains gauches et pas de cerveau.
Alors ne m'en veuillez pas si c'est une question élémentaire pour vous :
Avez vous une idée de la concentration nécessaire du perchlorure et du temps qu'on doit laisser le cuivre dans le bain pour le creuser sur un millimètre de profondeur ?
Et alors, comment éviter que le bain ne ronge également la "tranche" du métal ?
Je suis désolée de vous importuner avec mes questions de béotienne... mais celui qui m'éclairera aura ma plus sincère reconnaissance !