Je ne prétends pas leur enseigner rien nouveau mais considère opportun de leur expliquer ce qui j'ai observé tout au long de ces années de plein dévouement d'un processus qu'il exige des expositions à l'acide de faibles seconds.
Ils auront entendu parler de beaucoup de matériels et de différentes méthodes au moment de nettoyer la plaque, spécialement lui concernant le savon au moment de dégraisser le métal. Tous ces trucs sont inutiles aujourd´huy. La plus légère imperfection, y compris une simple goutte de salive, ou du frottement d'un doigt suffiraient de paralyser l'action de l'acide plusieurs seconds. Parfois suffisamment comme pour qu'en obtenant le premier essai d'état nous nous portions une surprise désagréable.
Il faut penser que le papier de verre, en sécheresse, est une méthode plus que suffisante pour laisser le cuivre parfaitement dégraissé. N'utilisent pas aucun autre méthode. Je polis la plaque insistamment, d'abord avec le papier de verre à l'eau nombre 800, (mais toujours en sécheresse), apres au papier de verre de restauration nombre 1200 et finalement avec l'éponge d'aluminium je frotte bien la surface du métal, en essayant toujours d'antéposer une feuille en blanc, dans le but d'éviter de toucher le cuivre. À la fin propre avec rôle de soie et je commence à travailler.
Si nous le pensons attentivement nous arriverons à la conclusion qu'est impossible que dans cette plaque il reste la plus petite trace d'impureté. Tout produit qu'ils utilisent, même si paraît mensonge, peut ralentir la corrosion de l'acide. Je le expose parce que beaucoup de problèmes apparaissent précisément par une propreté inadéquate du métal.
Je réjouit d´avoir entré dans ce forum parce que je crois que vous avet réveillé ma curiosité. Je crois que je ne tarderai pas beaucoup à m'unir à vous dans ces nouvelles méthodes.
Une salutation.