Le Pied D'Emilie :
Hier Pierre avait organisé une séance de Kitchen Litho dans l'atelier Grife de Blois .
Fortement grippé je n'ai pu m'y rendre, à mon grand regret .
En fin d'après-midi un texto d'Emilie m'annonçait qu'elle était aux urgences de l'hôpital de Blois:
Elle avait reçu le plateau de la presse sur son pied droit.
Fracture avec à la clef six semaine d'arrêt .
Je n'y était pas donc mon propos n'est pas d'expliquer le pourquoi du comment.
Ce que je sais, par contre , c'est qu'un plateau de presse peut faire des dégâts : la preuve .
Depuis toujours je répète aux graveurs de ne pas démonter les butées de plateau,
SOUS AUCUN PRETEXTE, (sauf démontage de la machine évidemment).
Par construction le plateau s'il n'est pas arrêté par les butées, en fin de course,
bascule inexorablement .
La réglementation concernant les machines a changé au début des années 2000,
et si la protection des machines électriques a été revue à la hausse, paradoxalement il n'y a plus de contraintes pour les machines manuelles.
Aussi certains constructeurs de presses vendent-ils des presses sans butées de plateau !!! Mais l'absence de textes ne doit pas nous faire renoncer au plus élémentaire bon-sens.
Cependant, si la responsabilité du constructeur ne peut-être engagée, celle de l'enseignant, ou du responsable d'atelier, reste pleine et entière : des poursuites pénales peuvent être engagées en cas d'accident , penser aux parents d'élèves qui ne vous feront aucun cadeau.
Alors que pour éviter ce genre d'accident, il suffirait d' EXIGER du fabricant qu'il mette des butées sur son plateau , je pense notamment aux écoles.
Si l'atelier est déjà équipé il faut installer deux butées solides aux extrémités du plateau .
Ce n'est pas une grosse tâche : une bonne perceuse, deux tasseaux de bois dur, et quatre vis, feront l'affaire .
Et surtout répétons-le ne JAMAIS les démonter, même si, pour des raisons de confort elle "gênent" .
Enfin et pour conclure, je trouve aberrant que le débat actuel se soit porté sur les hypothétiques méfaits des divers produits utilisés par le passé pour produire des images, et laisse de coté le problème de la sécurité du matériel utilisé.
Un plateau de presse DOIT ËTRE EQUIPE DE BUTEES D'ARRÊT !!!
Ce n'est pas négociable !!!
Tous les constructeurs de presses sérieux le savent !!!!
Vous voulez les noms ?????
Bon courage, Emilie, tous nos voeux de bon rétablissement (et de patience) t'accompagnent !
Bruno
Hier Pierre avait organisé une séance de Kitchen Litho dans l'atelier Grife de Blois .
Fortement grippé je n'ai pu m'y rendre, à mon grand regret .
En fin d'après-midi un texto d'Emilie m'annonçait qu'elle était aux urgences de l'hôpital de Blois:
Elle avait reçu le plateau de la presse sur son pied droit.
Fracture avec à la clef six semaine d'arrêt .
Je n'y était pas donc mon propos n'est pas d'expliquer le pourquoi du comment.
Ce que je sais, par contre , c'est qu'un plateau de presse peut faire des dégâts : la preuve .
Depuis toujours je répète aux graveurs de ne pas démonter les butées de plateau,
SOUS AUCUN PRETEXTE, (sauf démontage de la machine évidemment).
Par construction le plateau s'il n'est pas arrêté par les butées, en fin de course,
bascule inexorablement .
La réglementation concernant les machines a changé au début des années 2000,
et si la protection des machines électriques a été revue à la hausse, paradoxalement il n'y a plus de contraintes pour les machines manuelles.
Aussi certains constructeurs de presses vendent-ils des presses sans butées de plateau !!! Mais l'absence de textes ne doit pas nous faire renoncer au plus élémentaire bon-sens.
Cependant, si la responsabilité du constructeur ne peut-être engagée, celle de l'enseignant, ou du responsable d'atelier, reste pleine et entière : des poursuites pénales peuvent être engagées en cas d'accident , penser aux parents d'élèves qui ne vous feront aucun cadeau.
Alors que pour éviter ce genre d'accident, il suffirait d' EXIGER du fabricant qu'il mette des butées sur son plateau , je pense notamment aux écoles.
Si l'atelier est déjà équipé il faut installer deux butées solides aux extrémités du plateau .
Ce n'est pas une grosse tâche : une bonne perceuse, deux tasseaux de bois dur, et quatre vis, feront l'affaire .
Et surtout répétons-le ne JAMAIS les démonter, même si, pour des raisons de confort elle "gênent" .
Enfin et pour conclure, je trouve aberrant que le débat actuel se soit porté sur les hypothétiques méfaits des divers produits utilisés par le passé pour produire des images, et laisse de coté le problème de la sécurité du matériel utilisé.
Un plateau de presse DOIT ËTRE EQUIPE DE BUTEES D'ARRÊT !!!
Ce n'est pas négociable !!!
Tous les constructeurs de presses sérieux le savent !!!!
Vous voulez les noms ?????
Bon courage, Emilie, tous nos voeux de bon rétablissement (et de patience) t'accompagnent !
Bruno